un coup de main entre deux enquêtes

Un coup de main entre deux enquêtes

Il venait de faire deux heures de boxes. Deux longues heures à frapper dans un sac de frappe, à extériorisé cette rage qu'il avait en lui. L'affaire sur laquelle il était le menait à rien et il commençait à devenir fou. Comment pouvait-il bloquer autant ? Cette affaire n'avait rien de difficile. Enfin en théorie. Mais ce qui le gênait c'était de ne pas tout connaître de l'affaire. Du moins, il était presque sur que l'adjoint au Maire ne leur avait pas tout dit. Que cet homme avait omnis de dire des choses. De un pourquoi une équipe de profiler devait se charger de cette affaire ? Bon d'accord il y avait eut des morts, des ados qui s'étaient entre tuer à cause de cette drogue. A cause de ce trafic. Mais il était clair que d'autres équipes étaient tout aussi bien placé pour s'en charger. Prenez par exemple l'équipe de Sutton. Mais non eux, on les avait mis sur une affaire de meurtre. Au bout de deux heures, son portable sonna. Il arrêta de frapper. Retira un gant, et éteignit l'alarme de son portable et reprenant son souffle. Il ne lui restait qu'une heure trente avant de prendre sa couverture du gentil prof d'histoire au lycée de Quantico. Il avait du mal avec cette couverture parce qu'il devait jouer un type un peu simplet, gentil et à qui on veut tous parler. Alors que lui, bah il était tout l'inverse, enfin il était gentil, mais il n'aimait pas parler. Il enfourna son portable dans la poche de son grand short et se dirigea vers les douches. A cette heure-ci il se pensait seul dans ce lieux. Il laissa son portable sur le banc en face des cabines, et posa ses affaires également sur le banc. Il ne prit avec lui seulement son boxer propre et un jean. Il entra dans la cabine et prit une douche si chaude que la fumée s'élevait au plafond de la cabine. Au bout de dix minutes sous cette eau chaude, Nick finit par sortir. Il enfila son boxer et au moment où il enfila son jean il entendit du bruit. Ne sachant pas si il y avait quelqu'un ou non, il réagit par pur instinct et prit son arme de service qui était dans son sac. Ce fut le jean ouvert, enfiler entièrement, le torse et les pieds nus qu'il tomba sur Avery :

"Bon sang !!! Mais, il est même pas 6h du matin qu'est-ce que tu fou ici ?!"

Bon on pouvait lui relancer la question mais pour le coup Nick avait eut la peur de sa vie. Fallait dire qu'il n'avait pas beaucoup dormit. Cette affaire le ramenait pas mal dans le passé. Le jeune homme baissa son arme et la regarda, l'eau dégoulinant encore le long de son visage à cause de ses cheveux tremper. Nick finit par tourner les talons en se dirigeant vers le banc. Il attrapa sa paire de chaussette et commença à l'enfiler en disant :

"En faite ça tombe bien que tu sois là, en vrai, j'ai une question...Comment on récupère les affaires ici ? Je veux dire, on est bien d'accord que normalement, les profilers on est appeler par la police des compter, ou des villes qui ont besoin de nous ? Comment ça se fait que là, on nous donne une affaire qui devrait revenir à ton équipe ?"

Nick était suspicieux surtout quand ça parlait de hiérarchie. Il connaissait Sutton et il savait que c'était un super bon agent, le gars l'avait sauver, et l'avait aider. Nick avait confiance en lui malgré une légère méfiance encore, mais à dire vrai, mis à part sa meilleure amie, il garde une méfiance pour tout le monde.

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Les nuits n’étaient jamais bien longues pour l’agent Wells. Non seulement elle ne parvenait jamais à se détendre suffisamment pour dormir, que son esprit ne quittait jamais le boulot. Cinq heures sonnantes, les yeux fixant le plafonnier, elle s’extirpait de son lit en maudissant l’insomnie. S’habillant, elle attrapa une barre nutritive dans l’armoire avant de prendre la route vers le boulot.

Un peu avant 6h00, elle entrait dans le vestiaire du Gym du département de Quantico. Elle remarqua immédiatement la présence de Nick, le casier de l’agent Valderrama était déverrouillé et sur le banc central se trouvait son sac de sport. Sans s’y attarder, Avery prit ses affaires et se dirigea vers les cabines où elle pourrait enfiler ses habits d’entrainements en toute tranquillité. Dans ce milieu purement masculin, et malgré l’heure matinale, elle préférait encore utiliser la section réservée aux femmes afin de ne pas se dénuder dans tous ses collègues.

Une fois vêtus de son legging noir et d’un top à bretelle des plus confortables, il ne lui restait qu’à récupérer ses gants avant de commencer son entrainement. Elle tournait le coin quand elle manqua percuter un Nick, encore fumante de vapeur d’eau et à moitié nue. Visiblement nerveux, l’homme à la musculature saillante tenait en sa main son arme de service.

« Qu’est-ce que je fous ici? »

Répéta-t-elle, étonnée d’une question aussi absurde. Je travaille ici! Avait-elle pensé lui répondre. À la place, elle l’agrippa par le rebord de son pantalon afin de le boutonner et d’en remonter la fermeture éclair.

« Je m’assure que tu ne vas pas travailler avec ton engin bien à la vue! Mais je pourrais te poser la même question?»

Lui fit-elle savoir, un sourire moqueur au visage, ne se cachant pas d’apprécier la vue. Bordel qu’il était sexy! De quoi donner une bouffée de chaleur à n’importe quelle femme. Sans trop reluquer, histoire de ne pas passer pour une nymphomane, Avery le suivit, retrouvant sa propre case. En entendant sa question, elle se retourna, sourcil froncé, toute aussi concernée par cette affaire d’attribution. Il avait raison dans ses propos, tout ce qui concernait le trafic de drogue ou d’arme, revenait habituellement à l’équipe de Sutton. Les meurtres, ce n’était pas leur expertise.

« J’ai entendu dire que c’était à la demande du maire. Cette affaire de drogue à l’école est clairement reliée à des trafiquants que l’on connait déjà bien. Ça ne fait que compliquer le travail de tout le monde. Mais c’est à rien y comprendre. »

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Oui elle n'avait pas tord. Elle bossait ici, mais ce que Nick voulait lui demander c'était qu'est-ce qu'elle faisait ici à cette heure-ci. Il déglutit en sentant ses doigts frôler sa peau. Pas qu'il était puceau, mais disons que généralement les femmes le déshabillait, cela faisait bien des années que plus personne ne l'aidait à s'habiller. Il sourit et rangea son arme dans   la ceinture de son jean dans son dos. Le jeune homme sourit et fit ensuite à la jeune femme :

"Fais pas genre que ça te dérangerait...Et pour répondre à ta question, je me suis entraîner, j'avais besoin de me vider l'esprit avant de retourner au lycée."

Il retourna donc au banc, il y déposa son arme dans son sac et enfila donc ses chaussettes en parlant avec elle. Elle lui confirma ce qu'il pensait. Cette affaire n'aurait pas dut être la sienne. Il soupira et fit remarquer à Avery :

"Franchement, je sais pas si c'est parce que j'ai passer beaucoup de temps en infiltration, mais ça sent pas très bon cette histoire. Il sait très bien qu'une infiltration ne se fait pas aussi rapidement et aussi proche de son lieux de vie. On risque de rencontrer des gens qu'on connait à tout moment. Ce type je ne le sens pas. Tu crois que tu pourrais utiliser tes charmes pour en savoir plus sur lui ?"

Nick savait très bien de quoi elle était capable. Il savait qu'elle était comme lui, ils avaient tout les deux un côté voyou et ça lui plaisait. Il n'était pas amoureux attention, il était juste ravie d'avoir trouver quelqu'un comme elle. Sa meilleure amie était génial, elle était comme une soeur, mais jamais Nick lui demanderait de mettre sa carrière en jeu, car il savait que c'était bien trop important pour elle, donc pour lui. En revanche, il savait très bien qu'Avery saurait se sortir de cette situation. Alors oui clairement il en profitait.

Il n'avait pas cacher son petit regard sur elle. Cette tenue de sport lui allait à ravir et il devait admettre que c'était un gros plus dans sa journée, une sorte de petit coup de pouce. Au moins il avait eut le droit à voir quelque chose de jolie et donc il pouvait espérer peut être toucher sans se demander si il finirait en prison. Non parce que clairement au lycée il était sans cesse reluquer et il se demandait qu'en est-ce qu'il passerait à la casserole; Heureusement qu'il était bien plus fort mentalement que physiquement, bien que physiquement il soit déjà bien balaise. Le jeune homme attrapa son t-shirt et la regarda il fit :

"Tu m'autorise à l'enfiler, ou là aussi tu veux m'aider ? A moins que tu préfères la vue ?"

A leur fameux jeu du chat et de la souris. A les écouter, ils étaient tout les deux le chat. Nick aimait bien ce petit jeux. Et puis ils pouvaient jouer, ils étaient que tout les deux pour le moment. Alors un jeu de plus ou un de moins, cela ne dérangerait pas Nick.

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Elle aimait voir les hommes perdre tous leurs moyens. Nick en particulier, se laissait toujours aussi facilement décontenancer. Dès qu’elle avait touché sa peau, le corps de Nick s’était tendu, déglutissant nerveusement, l’agent Alvarez sembla apprécier l’effet de surprise. Retrouvant ses esprits, il rangea son arme et justifia sa présence ici. À ces dires, il était venu pour se vider l’esprit. En d’autres mots, quelques choses le chicotaient suffisamment pour l’empêcher de dormir.

« Je n’ai pas dit que ça me dérangeait! » 

Lui fit-elle savoir. Il pouvait bien se dénuder qu’elle ne l’en empêcherait pas. Ça faisait déjà plusieurs mois qu’ils jouaient à ce petit jeu, ce n’était plus qu’une question de temps avant que l’un d’eux ne cède. Les tensions sexuelles devenaient de plus en plus insupportables, les sous-entendus n’en étaient plus vraiment et les provocations éveillaient les envies primales. Le discourt de la tête et du corps se contredisaient de plus en plus. Si elle ne se permettait pas d’avoir une relation amoureuse avec un collègue, ou simplement une relation amoureuse. Cependant, elle pouvait considérer l’idée d’une amitié avec avantages.

Enfilant ses baskets, Avery referma son casier tout en écoutant les paroles de son collègue. Elle ne pouvait pas être plus d’accords. Infiltrer un lycée dans la même ville où il résidait était une idée totalement stupide. Le maire en avait tout de même fait la demande, tenant mordicus que l’équipe du BAU soit mise sur ce cas. Dès que Nick lui fit part de ses soupçons à l’égard du maire, elle se retourna, l’écoutant attentivement. Un sourire illumina son visage à sa proposition. Séduire le maire? Jouer hors des sentiers battus? Comment pouvait-elle refuser une telle offre?

« Je pourrais, je vais t’aider pour ton T-shirt, mais pour le maire… qu’est-ce que tu m’offrirais en échange? » 

Se permit-elle de répondre, s’avançant jusqu’à lui pour lui prendre des mains le t-shirt qu’il lui demandait gentiment la permission d’enfiler. Elle ne demandait rien d’extravagant, des informations, un service, un souper… À lui de voir. Déjà, elle ne faisait que marchander pour le plaisir. Dans sa tête, elle était déjà prête à s’occuper du maire.

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Ce jeu de séduction qu'ils effectuaient faisait rapidement monter la température entre les deux mais cela n'aidait clairement pas à garder les idées clairs. Nick était le genre à passer de femmes en femmes, ne cherchant pas une relation stable. Mais il était clair qu'à force de jouer ainsi avec Avery, un jour où l'autre ils craqueraient. Maintenant, il fallait savoir qui craquerait en premier. Le jeune homme avait frissonner en sentant les doigts de la femme sur son corps. Il devait admettre que la sensation n'était pas désagréable. Cependant, il se reprit assez vite.

"Pourquoi cela ne m'étonne pas."

Ils repartirent tout les deux vers le banc. Nick la laissa faire ce qu'elle avait à faire, lui il enfila ses chaussettes. Il enfila ses rangers et il lui parla de cette affaire. Les deux étaient d'accord pour dire qu'il y avait un truc qui ne fonctionnait pas, quelque chose qui n'était pas clair. Le jeune homme tourna la tête vers elle en lui demandant de l'aide pour essayer de comprendre ce qui se passait. Il savait que ce qu'il lui demandait était risquer mais après tout, ils aimaient le risque tout les deux non ? Il en profita pour se moquer d'elle en lui demandant si il pouvait mettre son t-shirt ou si elle voulait le faire. Mais elle sembla accepter le jeu et lui demanda ce qu'il allait lui donner en retour.

"Tu es sur que tu veux jouer sur ce terrain ? "

Demanda-t-il en plongeant son regard ténébreux dans le sien. Il la toisait du regard et s'approcha d'elle, faisant ainsi monter la température encore d'un grand. Puis d'un sourire malicieux il fit :

"Un diner tout les deux, à la fin de l'enquête. Voilà ce que je t'offre."

Il se mit à rire et tendit les bras vers elle, comme un enfant qui veut enfiler son t-shirt. Il se mit à rire ensuite et une fois habiller de son haut, il attrapa son blouson et l'enfila. Il enfourna son arme dans le fond de son sac de sport et rangea son portable de tout les jours dans son casier. Il n'utilisait que son portable prépayer. Il la regarda et d'un air coquin, s'appuyant contre la parois du casier il fit :

"Quoi tu espérais une nuit torride ? C'est un plus gros service qu'il faudra me rendre pour ça, je ne suis pas un homme facile tu sais."

Bien sûr on allait le croire. Nick ne restait pas plus de trois nuits avec la même femme, et chaque semaine il en avait une nouvelle, a tel point que personne ne cherchait à savoir le nom de ses conquêtes.

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Elle adorait ce regard ténébreux qu’il avait en la regardant, le défi scintillant dans ces pupilles. Sans le lâcher du regard, elle le laissa s’approcher se hâtant d’entendre ce qu’il proposerait. Un souper? Vraiment? Il n’avait rien de plus croustillant que ça à lui proposer.

Comme promise, elle lui enfila son chandail avec une once de déception. Étrangement, elle s’était surprise à souhaiter qu’il se montre un peu plus entreprenant ce matin. Elle ne se souvenait même pas à quand remontait la dernière fois qu’elle avait couché avec un homme. Là, tout de suite, si on la forçait à être honnête, ce petit jeu de séduction aurait facilement pu tourner au vinaigre. Heureusement pour eux, Nick se couvrait, revêtant son blouson.

« Tu vas me devoir un souper et un service! » 

Lui fit-elle savoir, balayant cette histoire de nuit torride pour l’instant. Prenant dans son casier ses bandages qu’elle utilisait pour couvrir ses jointures, elle commença à enrouler son poignet.

« Tu sais, il y a deux rumeurs qui courent à ton sujet dans les bureaux! »

Commença-t-elle, prenant son temps histoire de le faire languir. Elle terminait sa première main avant d’entamer la seconde et de poursuivre.

« Elles sont même très contradictoire l’une de l’autre. J’ai cru longtemps que la première était vraie, mais plus j’apprends à te connaitre, plus j’ai l’impression que tu n’es pas si différent des autres. » 

Elle referma son casier, se retournant pour le regarder, un léger sourire en coin aux lèvres. Venant à lui, elle posa une main sur sa taille, laissant ses doigts glisser jusqu’à son arme, en caressant le manche d’un mouvement très subjectif. 

« Sauf que, tes paroles sont contradictoires. Soit, tu es un homme trop difficile, ce qui expliquerait que l’on dise de toi que tu es puceau. Ou bien, tu mens alors qu’en vérité, tu es une vraie petite salope qui baise tout ce qui bouge! Je dois t’avouer que je ne sais pas quel scénario je préfère croire!»

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Nick fut surprit de son changement de regard. S'attendait-t-elle à coucher avec lui ? Avait-elle oublier les premières règles de bases du prédateurs ? Il ne faut jamais chasser chez soit. Enfin bon, Nick se prépara. Puis elle lui dit qu'il lui devait un repas et un service. Nick hocha la tête. Tant que tout était légale, il serait là pour l'aider. Il n'avait pas besoin de répondre, juste un regard suffisait.

Quand il la regarda finir de se préparer elle lui glissa que deux rumeurs circulaient à son sujet. De un, Nick n'aimait pas les rumeurs, de deux il ne supportait pas qu'on parle de lui dans son dos. Le jeune homme ne répliqua pas. Il la regarda, attendant avec impatience ce qu'elle avait à dire. Nick plissa les yeux en attendant la révélation. Pour le coup, en faite Nick aurait préféré ne rien savoir. Il n'aimait ni l'une, ni l'autre. Ces deux rumeurs n'étaient que des conneries, quoi que le fait qu'il couche avec plus d'une femme par mois, oui c'était pas vraiment une rumeur, mais de là à le faire passé pour une salope comme elle disait il se sentit un peu blessé pour le coup. Mais Nick ne laissa rien voir. Il sourit à ce qu'elle dit et s'approchant d'elle, il lui murmura dans le creux de son oreille :

"Je ne suis ni l'un, ni l'autre. Les rumeurs peuvent courir, j'm'en cogne, j'ai déjà subit ça, et franchement..."

Marquant une pause, il la regardant droit dans les yeux et sans lui laisser le temps de comprendre, il l'embrassa langoureusement. Puis détâchant ses lèvres d'elle, il lui déclara en restant très proche d'elle :

"J'ai déjà survécus à des rumeurs bien plus atroce que ça..."

Il recula et sourit de manière amuser. Il savait très bien que la tension sexuel qui était entre les deux étaient très forte. Mais Nick avait apprit à se contrôler, à résister et à faire comme si rien ne l’atteignait.  Il prit son sac et commença à avancer vers la sortie, et collant son dos contre la porte il lui dit :

"Oh en faite, Wells, sache que je ne chasse pas là où je bosse."

C'était totalement faux. Mais rien que ça pouvait aider à mettre le doute, à jouer sur les rumeurs, à jouer tout court. Nick avait vécut toute son enfance avec des rumeurs parcourant les couloirs de l'école sur lui, et encore plus à l'adolescence entre un frère dangereux et un père décédé lors d'une émeute, autant dire que Nick avait pas eut une enfance facile. Mais il avait réussit à surmonter tout ça, à faire de toute cette rage une force.